Même si ce n’est pas le meilleur des King que j’ai lu, quel déchirement tout de même de quitter cet univers! J’ai beaucoup aimé découvrir la variété des personnages et leurs complexités, leurs identités propres, King est vraiment doué pour ça! Un roman angoissant, avec quelques scènes bien glauques et un suspense (quasi) permanent: pas de doute, Stephen King est le maître incontesté en la matière!

Como já tem vindo a ser hábito o Stephen King , escreve histórias que demoram a fazer o click mas assim que se entra na engrenagem parece que já conhecemos as personagens há muito tempo. ☺️ No fim do primeiro livro já estava familiarizada com as personagens e entusiasmada com o que lhes vinha a acontecer. Este segundo livro é muito mais emocionante , faz com que o leitor queira mais e mais

Мащабно произведение, писано с голямо удоволствие

Tout de même décevant que l'issue du combat ne soit attribuable aux protagonistes que l'on suit depuis plus de 1000 pages...

J'ai préféré le premier volet mais l'ensemble se classe parmi les meilleures oeuvres de King.
Et comme a chaque fois, on finit presque le livre a regret !

En 1990, le Fléau se répand sur l’Amérique, de New York à Los Angeles. Lorsque l’armée américaine libère par erreur un virus hautement contagieux, 99.4% de la population est décimée. Les quelques survivants, perdus et désespérés, vont alors devoir faire un choix : rejoindre celle dont ils rêvent, Mère Abigaël, symbole de leur salut, ou venir gonfler les rangs de l’homme noir, Randall Flagg, qui règne sur l’ouest du pays. Plus qu’une lutte pour la survie, c’est un combat entre le Bien et le Mal qui va alors s’engager.

Avec Ça, Le Fléau est probablement l’un des romans les plus populaires de Stephen King, qui a fait trembler et captivé des millions de lecteurs partout dans le monde. Initialement imaginé comme une sorte de pendant post-apocalyptique au Seigneur des Anneaux mais dans l’Amérique moderne, Le Fléau est une fresque épique qui, sans jamais atteindre le génie de Tolkien, n’en reste pas moins une oeuvre absolument incontournable.

“J'étais profondément concentré sur Le Fléau, écrivant enfin mon épopée fantastique américaine, qui se déroule dans des États-Unis décimés par une épidémie. Seulement au lieu d'un hobbit, mon héros était un Texan nommé Stu Redman, et au lieu d'un Seigneur des Ténèbres, mon méchant était un vagabond impitoyable aux pouvoirs surnaturels nommé Randall Flagg. La terre de Mordor ("où se trouvent les ombres”, selon Tolkien) était ici jouée par Las Vegas.” - Stephen King

Le Fléau est à la fois un récit extraordinaire (aux prémisses étonnamment actuelles) et un examen à charge de l’Amérique de la fin du 20ème siècle—une Amérique complètement désorientée, obsédée par la technologie et le progrès, incapable de voir qu’elle avance à grands pas vers sa propre destruction. Dans son roman, Stephen King offre à la poignée de survivants de la super-grippe une chance de faire mieux, de reconstruire un monde nouveau sur des fondations plus saines, mais la conclusion du livre est aigre-douce, et l’auteur nous laisse y entrevoir un éternel recommencement.

Comme à son habitude, King mêle avec brio une multitude de genres, de la fantasy à l’horreur en passant par la science-fiction catastrophe. Il peuple son monde post-apocalyptique de héros attachants et d’antagonistes terrifiants, mais tandis que les Etats-Unis sont divisés en deux camps opposés—le Bien et le Mal—, ses personnages sont rarement aussi manichéens : ils sont complexes, changeants, rongés par le doute, la peur, et même parfois la haine, mais jamais insipides. Un tour de force étant donné leur nombre !

Un reproche tout de même : j’ai souvent eu la sensation que Stephen King écrivait au fil de la plume sans vraiment connaître la destination, qu’il s’égarait parfois en chemin, et errait sans trop de direction. Le Fléau est long, dense et passionnant, mais manque parfois d’une colonne vertébrale. Finalement, plus qu’un livre, c’est un voyage. Étrange, terrifiant, fatigant parfois, mais qui vaut vraiment le détour.

Comme dirait Tom Cullen : Putain, oui.

Я не зрозумів задуму Кінґа в другій частині. Все звелося до дуже плоского і банального фіналу. Ми не отримали саспенсу, якоїсь кульмінації. ʼВсе сталося само собою.. та ще й дуже примітивним чином. Чи вартувало це тисячі сторінок?
Якщо в першій частині головним антагоністом був капітан Трипс і він справді лякав. То Флеґ - це пародія на вдалого антагоніста, це той приклад, який навпаки треба уникати. Його мотиви, його дії - це просто абсурдно.
А що ще більш абсурдно - це те, як автор злив справді прекрасно побудований початок цього твору. Я очікував більшого. Ґрандіознішого. І не дарма, бо Кінґ явно мав і має талант до цього. Проте не у цьому романі, на жаль.

Для мене це стало однією з найкращих історій Кінга. Ніби боротьба заключається між добром і злом, але співчуття до обох сторін одинакові. Герої для мене чудові, кожен по своєму цікавий. Єдине що кінець здається якимось недозакінчентм, проте це і не настільки впливає і псує на загальне враження.

Ok mas muito mais perturbador do que o primeiro volume!

Have read this book many times, but not in a number of years. It's an all-time favorite.

J'ai beaucoup aimé cette seconde partie. A l'image du premier volume, le récit est dense. King aborde la "reconstruction" du monde, l'envisage sous plusieurs angles, politique, éthique, sociologique. Certains dialogues entre les protagonistes de l'histoire sont passionnants et donnent à réfléchir.
Il y a aussi - c'est même l'idée centrale du bouquin - cette lutte entre le "bien" et le "mal", ce dernier incarné par le mystérieux homme noir. Par moments on nage dans un délire mystico-fantastique auquel j'adhère un peu moins, mais ce n'est pas grave, j'ai adoré cette lecture pour tout ce que l'auteur nous apporte.
C'était magistral.

Según Stephen King, esta novela es la única en su vida en la que tuvo que aparcarla para, pasado un tiempo, continuarla. Quizás eso se note en el fluir de la historia, pero acabó convirtiéndose en un referente en su bliografía. En ella, como en, Los ojos del dragón... volveremos a encontrarnos con Flagg, uno de los malvados más célebres de la literatura de King y del género de terror de los últimos tiempos.