Community Reviews

Rating(4 / 5.0, 99 votes)
5 stars
29(29%)
4 stars
40(40%)
3 stars
30(30%)
2 stars
0(0%)
1 stars
0(0%)
99 reviews
April 25,2025
... Show More
L'Éducation sentimentale déconstruit le roman classique tout en construisant simultanément le roman moderne, et il incorpore cette ambiguïté qui le rend inclassifiable. À cause de cela, on risque de le lire aujourd'hui avec le même ennui que beaucoup de contemporains de Flaubert, qui furent agacés par les esquives systématiques avec lesquelles cet auteur a évité le romanesque, c'est-à-dire l'image extraordinaire (et plus directe, simple, communément entendue) du réel. Flaubert a pris ici, comme dans toutes ses meilleures œuvres, le parti du banal, cette autre image, plus vraie et subtile du réel, mais aussi beaucoup plus difficile à saisir. Il a même réussi à rendre le banal passionnant. C'est là que réside le génie de Flaubert et la modernité de ce roman, dont l'influence sur la prose qui a suivi est véritablement incalculable. Je confesse que j'étais assez ennuyé lors de ma première lecture, il y a quelques années — en revanche, Madame Bovary m'a toujours passionné, je l'ai lue une dizaine de fois — mais cette fois-ci, j'ai lu L'Éducation sentimentale d'un bout à l'autre avec enthousiasme, émerveillé par cette force et cette beauté inattendues qui se cachent dans le filigrane même du banal et qui peuvent facilement passer inaperçues. Il n'y a, par exemple, aucun final de roman qui m'ait touché autant que cette scène de jeunesse dont Frédéric, déjà plus très jeune, se souvient. Ce petit flashback est totalement dénué de dramatisme, il est simple et candide, mais il m'a bouleversé jusqu'au fond de l'âme.

Une autre réflexion:

Michelangelo Antonioni, en regardant les peintures de Rothko, lui dit: « Elles sont comme mes films, elles traitent du rien avec précision ! » Mais le grand prédécesseur, tant du réalisateur que du peintre, a été bien sûr l’écrivain Flaubert. Il a été le premier artiste à traiter le rien avec précision. Le quotidien, la banalité des personnages qui ne se distinguent jamais par quelque chose d’extraordinaire, sont néanmoins observés avec une attention minutieuse qui amplifie leur petitesse, montre leur insignifiance avec une telle précision dans les détails qu'elle révèle en effet ce « rien » comme paradoxalement plein. L'Éducation sentimentale est "l'aventure" – terme profondément relativisé par Antonioni dans son film homonyme – du jeune Frédéric. Ce dernier, par manque d'énergie et d'application, à travers de petites mésaventures, rate un grand amour, une grande amitié, une carrière et finalement sa vie entière. Il rate tout d'une manière nullement spectaculaire, plutôt anodine, simplement parce qu'il n'est pas un héros, mais un individu assez ordinaire, sans destin, donc pas livresque, « sans qualités », comme dirait Musil. En somme, rien de ce qui se passe avec Frédéric n’est intéressant, mais ce rien dont tout le livre traite est bien plus qu'intéressant. Il a ses subtilités et ses abîmes qui impriment chaque page.

Il n'y a rien qui caractérise mieux la modernité que le rien. Mais ceci prend beaucoup de formes. Peut-être une infinité. Le rien de l'époque de Flaubert, puis de celle de Rothko et Antonioni, ou de la nôtre, est bien sûr différent en ses manifestations, mais toujours le même zéro comme résultat, somme toute, de la modernité. La modernité n’est pas une époque, mais l'impossibilité d’une époque quelconque. Son produit est le vide, car elle ne possède que des formes changeantes, donc aucune. Cette non-époque, qui tend vers l'infini, efface constamment ses traces. Cependant, toutes ces traces sont assez entremêlées pour former des labyrinthes éphémères; les individus qui y errent sont de plus en plus atomisés et leurs relations s’accélèrent, s’interposent, se fragmentent en mouvements browniens. Comment enregistrer cela? Ce livre est peut-être la première réponse jamais donnée. C’était la grande découverte de Flaubert que le néant (dont le hasard de l’ordinaire n'est qu'une manifestation) possède toujours une certaine texture, et donc virtuellement aussi un texte (ou une toile, ou le grand écran, selon l’artiste) où il peut s’imprimer avec plus ou moins de précision.
April 25,2025
... Show More
THIS BOOK. Some of the most consistently astonishing prose I've read - whether decadent all-night parties, violent street battles, or intimate scenes of friendship and love. Exquisite construction + moments of gut-punch emotion. A vibrant and still-modern book about illusions, youth, politics, failure. The artistic equivalent of a $200,000 bottle of wine. Surely one of the greatest novels ever written.
April 25,2025
... Show More
"-Como usted quiera - dijo Frédéric, sintiendo que algo irreparable acababa de suceder y que había perdido a su gran amor. Y la otra estaba allí, cerca de él, el amor fácil y alegre. Pero, cansado, lleno de deseos contradictorios y ni sabiendo lo que quería, experimentó una tristeza desmesurada, ganas de morir."

La historia principal mala, el personaje principal malo, la relación amorosa mala, pero creo que le hago justicia con 4 estrellas. "La educación sentimental" es una historia más bien de "desaprendizaje", aunque tal vez no todos lo vean así.
Frédéric es un joven provinciano dotado de una cierta fortuna y con conexiones sociales en la gran capital, París, que trata de hacerse un "futuro", pero para su buena o mala suerte se cruza con la Sra. Arnoux, esposa de un comerciante adinerado pero vulgar y simplón, de la cual quedará prendado casi a primera vista. Frédéric es un personaje vacío, muy vacío, por lo menos Julien Sorel de "Rojo y Negro" tenía una convicción segura y actuaba según ello. Frédéric Moreau actúa a lo largo de la novela más por impulsos que por ideales, me decepcionó bastante la verdad pues ni en los momentos de necesidad histórica parece ser más grande que sus pequeñas ambiciones. Una vida dirigida por una mujer en gran parte me parece así mismo patético.
Lo que realmente me gustó fueron como en "Salammbó" las descripciones tan exactas (aunque es cierto que a veces se excede un poco) de los distintos ambientes, de los sentimientos, más de las cosas pequeñas y sobre todo la amplia caracterización de distintos "tipos" del París de 1840s. Realmente me fascinaba la idea de vivir en esa época, aunque a veces e decía "no me gustaría vivir lo que esos personajes". Recordaba el París que conozco cuando Flaubert hablaba de sus avenidas, de sus teatros, del castillo de Fontainebleau, y descubrí las distracciones de aquella época con Flaubert, de cómo se vivía en el siglo XIX.
Y es que además la obra habla en gran medida de los preludios de la revolución de 1848 en Francia, lo que se llamó "La primavera de la democracia" en todo Europa, la restauración por lo menos temporal de la República Francesa. Así tenemos en los amigos de Frédéric a los tipos frecuentes de la época: Rosanette, la mujer de mundo que no tiene dueño y que gasta su dinero en diversiones y fiestas, Sénécal, el comunista implacable que espera la revolución para al fin alcanzar la cúspide de la humanidad, Deslauriers, el joven abogado buscando fortuna y placeres (me sorprendió mucho este personaje), Péllerin, un pintor de la época buscando notoriedad, Hussonet, el periodista talentoso e implacable. Me gustó esa congregación de amigos jóvenes tratando de hacerse un espacio en la capital cosmopolita, el centro del mundo.
Así este libro me ha enseñado mucho de la época, y por supuesto en las discusiones políticas se habla de Lamartine, Blanc, Proudhon, Napoleón, Béranger, Luis Felipe de Orleans, y muchos otros personajes de la mitad del siglo XIX. La revolución así misma es contada de manera apasionante pero también realista con todas sus miserias y su pequeñez. El retrato de la clase obrera, de los problemas constantes de Francia, de los ideales del pueblo, de la volubilidad de los cargos en medio de una revolución son fascinantes.
Sin embargo, la descripción histórica no me pareció tan buena como en "Salammbó" y como mencioné realmente los personajes, sobre todos los principales sólo pasan a través de la novela, son mezquinos, débiles, egoístas, por momentos también me pareció que no sabía qué exactamente quería contar Flaubert, cuál era su mensaje, no encuentro un manejo de personajes con un real objetivo, a veces las acciones se pierden y ése es otro punto negativo que encontré a la historia.
Por lo menos me gustó más que "Madame Bovary".
April 25,2025
... Show More
Look, its Flaubert. I don't have any fault to find with this writing. But I've still got 100 pages to go and its been weeks and I have no intention of finishing this. I get these characters- way waaay too much. I want to claw my eyes out rather than spend any more time with them though.

So probably too good a job, M. Flaubert. But I'd prefer to spend time with Emma so many times over. Even at her most whiny.

Review to come.
April 25,2025
... Show More
رمان خوب برای من رمانی هست که فاجعه و تراژدی‌اش نه توی کلمه‌های کتاب، که توی ذهنم و موقع خوندن اون اتفاق بیافته. اگه رمان‌ معاصر ـ رمانی که متعلق نباشه به ادبیات تعلیمی ـ خودش رو موظف بکنه به شرح و بسط تمام ریز و بم قصه، یک‌جورهایی میشه گفت تخیل خواننده‌اش رو با نشمه اشتباه گرفته؛ گویا. چند سال پیش که یکی از یادداشت‌های اورهان پاموک رو می‌خوندم، توی یکی از بحث‌های «ما چگونه ما شدیم؟»ایش، میاد و نویسنده‌ی ترک نسل قبلش رو می‌زاره رو ترازو و می‌گه تفاوت رمان‌نویس ترک با رمان‌نویسی مثل تولستوی تو اینه که رمان‌نویس ترک میاد و برای صحبت از چکمه‌بوسی، اشاره‌ی مستقیم می‌کنه به این کلمه و اون رو در مقام صفت طرف به کار می‌گیره و اما تولستوی میاد و به جای جعل صفت، وضع وضعیت می‌کنه. مثال هم می‌زنه تکه‌ای از رمان جنگ و صلح رو که تو اون قسمت چطور پدر پسری برای آینده‌ی بچه‌اش، «مجبور» میشه که ضیافتی رو ترتیب بده با دعوت از اشخاصی خاص.


چی شد که این رو گفتم؟ این‌روزها فرصت فلوبرخونی دست داده. مرد فجایع ذهنی.
April 25,2025
... Show More
Birkaç ayrıksı örnek dışında, Flaubert’in romanları çoğunlukla kendi yaşantısından izler taşır. Özellikle ilk romanı “Bir Delinin Anıları” ile “Duygusal Eğitim”de bu çok belirgindir. Her iki romanda da ana konu genç bir adamın kendinden yaşça büyük ve evli bir kadına tutkuyla âşık olmasıdır. Genç adam kendisi, âşık olduğu evli, kendisinden yaşça büyük kadınların esin kaynağı ise Elisa Schlesinger’dir.
Gustave Flaubert, on beş yaşında yaz tatili için gittiği Trouville-sur-mer’de, tesadüfen tanıştığı, kendinden yaklaşık on yaş büyük olan Elisa Schlesinger’e âşık olur. Bu olayı otobiyografik unsurlar taşıyan ilk romanı “Bir Delinin Anıları”nda kullanmakla kalmaz, en önemli romanlarından bir kabul edilen “Duygusal Eğitim”in de kalbine yerleştirir. İlk romanında Elisa Schlesinger’in yerinde Maria vardır:

“Ey Maria! Maria, gençliğimin sevgili meleği, sen ki, taze duygularımla gördüğüm, sen ki, o kadar parfümle, tatlı hayallerle dolu, o kadar şefkatli bir aşkla sevdiğim, elveda!

Elveda! Başka tutkular gelecek, belki de unutacağım seni, ama her zaman kalbimin en derin yerinde kalacaksın, zira kalp öyle bir dünyadır ki, insanı alt üst eden, deşen ve yeniden işleyen her tutku, bunu önceki tutkuların kalıntılarının üstünde yapar. Elveda!”

Romanda böyle yazsa da Maria’yı yani Elisa’yı unutamaz Flaubert. Ona yeni bir kimlik ve isim bularak onu “Duygusal Eğitim”in Marie Arnoux’su yapar. Romanın başkişi, tıpkı Flaubert gibi Paris’te hukuk eğitimi gören, Frederic Moreau’dur.
Flaubert’in “Madam Bovary”den sonra en çok ses getiren romanı ”Duygusal Eğitim” yine aynı konuyu ele alıyor. Fonda tabii siyasal çalkantılar, devrimler, dört yıl süren cumhuriyetin ardından 1852’de III. Napolyon’un tahta geçmesiyle başlayan İkinci İmparatorluk dönemi var. Ancak Flaubert esas konusunu öne çıkarmak için bu fonu özellikle silik kullanmış.
Dönemin gereği ve Madam Arnoux’nun evli bir kadın olması sebebiyle ilişkinin başlangıcı oldukça uzun sürüyor romanda. Frederic Moreau tutkuyla sevdiği Madam Marie Arnoux’ya yakın olabilmek için Mösyö Arnoux ile arkadaş oluyor ve bu sayede evlerine girip çıkmaya başlıyor. Romanın ortalarında ilk kez evde yalnız kaldıkları an aşkına karşılık bulabileceğinin ilk işaretlerini alıyor:

“… bir gül kopardı, bahçesindeki tek gülü.
- Hatırlıyor musunuz, hani bir akşam arabada, bir gül demeti?
Madam Arnoux biraz kızardı, sesine bir eğleni havası verip bunu aklamak isteyerek:
- Oh! dedi, çok gençtim o zamanlar.
Frederic alçak bir sesle:
- Bunun başına da aynı şey mi gelecek? dedi.
Madam Arnoux, gülün sapını parmaklarının arasında iplik eğirmiş gibi döndürerek karşılık verdi:
- Hayır. Bunu saklayacağım!”

Ancak romanın başından da tahmin edileceği gibi bu sonu olmayan bir aşktır. Romanın sonunda bu kez Madam Arnoux vedalaşır:

“_ Allah’a ısmarladık, dostum, sevgili dostum! Bir daha göremem sizi! Son bir kadınlık çıkışımdı bu benim! Ruhum yanınızdan hiç ayrılmayacak! Tanrı sizi esirgesin! dedi.
Bir anne gibi Frederic’in alnından öptü.
Bir şeyler arar gibi bakındı, sonra bir makas istedi.
Tarağını başından çekti, bütün ak saçları omzuna döküldü.
Sert bir hareketle saçlarının kökünden uzun bir tutam kesti.
- Saklayın bunu! Allah’a ısmarladık! dedi.”


Romanın çevirisini Cemal Süreya yapmış. Bu muhteşem çeviriyi okurken bir kez daha klasiklerin mutlaka iyi çevirmenlerin elinden çıkmış halleriyle okunması gerektiğini düşündüm.

Alıntılar: Gustave Flaubert, Bir Delinin Anıları, Sel Yayıcılık, İstanbul, 2011, s.91.
Gustave Flaubert, Duygusal Eğitim, İletişim Yayınları, İstanbul, 2010, s.217-218-477.
April 25,2025
... Show More
Flaubert in this novel presents us with a woman who is the antithesis of Madame Bovary. Madame Arnoux remains the loyal, virtuous wife, despite her husband's numerous failings (he is both financially and sexually incontinent) and the sustained passionate attentions of the books's protagonist Frederic Moreau.
It is an interesting contemplation of the nature of love and lust and how the two are distinguished. How the desire to possess that which one is denied can become an obsession and one which can fade when fulfilment is possible.
Henry James described it as, "elaborately and massively dreary" and that there was no more charm in it than in a heap of gravel and while I don't agree I suspect what he was relating to is the fact that the characters all suffer from human and moral frailty. Despite the title there is no sentimentality from Flaubert towards his players, just the truth of their actions and intentions. There is no judgement for any actions the characters undertake, just a beautifully written tale of people facing their inner turmoil against a backdrop of political unrest.
April 25,2025
... Show More
Me: I don't like Flaubert.

The Chorus: What?!? What Else? Do you park in handicapped spaces? Do you not wash your hands after using the rest room? Do you chew with your mouth full? Snap your chewing gum? Do you refuse to do the Wave at sporting events? Do you ride in the passing lane even when you're not passing? Did you seriously not watch even a minute of the Kavanaugh Senate hearing? Do you laugh out loud at The Onion? Do you think it's possible the Second Amendment may be read too broadly by some? Do you stop watching Sports Center during the NBA season? Have you ever had more than 12 items in your basket in an express check-out line? DID YOU, SIR, VOTE FOR DONALD TRUMP???

Me: I just don't like Flaubert.
April 25,2025
... Show More
Review de la seconde éducation sentimentale : Une mise en abîme de l'impossibilité du héros romantique à perdurer dans la tradition romanesque.

Spectateur de la société comme spectateur de sa vie, Frédéric Moreau incarne le héros romantique par excellence, retenu dans un autre temps, désormais révolu, incapable de s'acclimater aux remous de la société parisienne et de la vie politique contemporaine.
Sa quête d'idéaux le conduit à une inactivité passive, à n'être qu'une victime des circonstances. L'idéal qu'il poursuit toute sa vie, Mme Arnoux, incarnation de l'amour cristallisé, lui échappe sans cesse, et la similitude entre les traits de cette dernière et ceux de Mme de Rênal (dans Le Rouge et le Noir) n'est sans doute pas innocente.

Et puis, comme le remarque très justement Marie-Noire, dans Blanche ou l'Oubli :
"Pour en revenir à ce Flaubert, dans L'Éducation, ce que j'en ai retenu, moi, ce sont les enfants.
– Les enfants ?
– Bien, vous n'avez rien remarqué ? Il y a le garçon de Mme Arnoux qui a le croup le jour où Frédéric l'attend rue Tronchet. Il y a l'enfant de Frédéric et de Rosanette qui meurt couvert d'une espèce de muguet. Il y a l'enfant que Rosanette adopte et, vous, ça ne vous touche pas autrement, vous ne voyez qu'une chose, qu'elle a grossi..."

Sans doute la magie de ce roman réside-t-elle dans la pluralité de ses lectures et des sensibilités qu'il éveille, le détail de l'un devenant la clé de lecture de l'autre...
April 25,2025
... Show More
A novel more difficult than Madame Bovary, but more complex and in many ways more rewarding as well. This is not your typical Bildungsroman, but a coming of age story that questions if you ever truly come of age.

Vaguely titled L'Éducation sentimentale in French, the story takes us to Paris in the 19th century (right around the time of the French Revolution), where we meet Frédéric Moreau, a young man ready to become a man. Doing so is not an easy challenge, however, because there is Madame Arnoux to be infatuated with, some money to inherit and alas, life turns out to be hard.

This is a cynic and clever tale of an entire generation. I personally found it very helpful to read Madame Bovary first (though I didn't love it), as it helped to understand the way Flaubert writes – there's smart humour and razor-sharp irony, but delivered in such nonchalant and fluent ways, that you have to be really conscious to take it all in as the plot twists and turns its way into the French Revolution.

Frédéric is a brilliant anti-hero. While he appears to be just like any other protagonist, following him and his peers on their aimless journeys makes you realise how useless they all really are – how their goals diminish, their opinions waver and their loves flicker. Helplessly materialistic, they are all capricious in pretty much all their endeavours and because they are so caught up in their own schemes, you as a reader begin to find amusement in their drama.

What makes this special is Flaubert's lovely writing. His talent didn't come as a surprise, but I was once more impressed by how he handles language. There are ravish and lively descriptions of Paris in particular, but also idyllic and down-right beautiful images of the French countryside he conjures up. And yes, there might be other authors able to use words to their advantage, but not many do so without the faintest hint of kitsch or sentimentality. Flaubert doesn't even ramble, but even when going off on descriptive sprees, those wanderings feel relevant and enriching (something I really can't say about Proust).

I read this alongside my fantastic reading buddy Leonard, who I want to thank for another fun journey!
April 25,2025
... Show More
Tinha ficado algo apreensivo aquando da minha resenha de “Madame Bovary” (1856), mas aceitei que o problema fosse meu. Assumi que a obra tinha surgido numa fase embrionária do realismo na literatura, que tinha obrigado Flaubert a inovar e a abrir caminhos sem pauta para se orientar, e que por isso teria de ser condescendente por estar a quase dois séculos de distância. Mas ao chegar ao final de “A Educação Sentimental”, esta minha abordagem já não serve, porque passados 15 anos, Flaubert não alterou em nada os problemas que eu tinha sentido face a "Madame Bovary".

Só em parte consigo entender que Proust e Kafka se tenham deliciado com Flaubert. Sim a escrita tem momentos muito bons, existe uma organização frásica muito boa, capaz de gerar bom ritmo, de adocicar a leitura, a ponto de fazer toda a experiência fluir muito naturalmente. Por outro lado, e agora no final destes dois livros, percebo que Flaubert terá sido um indivíduo com problemas obsessivos, centrado sobre si e sobre a sua arte, incapaz de lidar com o social. E é por isso que apesar de eu não ver proximidade temática, entre Proust e Kafka com Flaubert, eles por sentirem problemas ao nível dos de Flaubert, terão lido nas entrelinhas. Mas fosse apenas este o meu problema com a obra, e aceitaria Flaubert sem problemas, o problema é que ao contrário deles, Flaubert não foi capaz de criar uma obra autónoma.

Ou seja, “Madame Bovary” e “Educação Sentimental”, seguem ambos a mesma formula, com uma variação apenas, num temos uma mulher, no outro um homem. Isto parece ridículo, mas foi exatamente isto que senti no final dos dois livros. **** SPOILER **** Temos dois personagens, Emma e Frederic, ambos apenas centrados sobre si, nos seus amores, totalmente insensíveis à restante sociedade, desde a própria família, aos amigos, até mesmo aos próprios filhos. E se já me tinha chocado com o desenho da relação entre Emma e a sua filha Berthe, Frederic vai muito mais longe, roçando o desumano. Ter um filho e não querer saber, podemos até aceitar que se trata de alguém apenas focado em si, mas ver o filho morrer nos braços, e estar apenas preocupado com o facto da amada ir partir para outra cidade, é tão aberrante que não tenho palavras para descrever **** FIM ***.

Acabei por ter de ir confirmar que Flaubert nunca casou, nem nunca teve filhos, e para além disso, afirmava ser "antinatalista", já que considerava não querer "transmitir a ninguém os agravos e as desgraças da existência”. Lido assim, parece profundo, apesar de ser aquilo que quase todas as pessoas que conheço, e que não querem ter filhos, dizem. O problema, é que para alguém supostamente tão reflexivo sobre a existência humana, escreveu dois livros, os que li, de uma superficialidade atroz. Tanto Emma como Fréderic vivem as suas vidas sem pensar em absolutamente mais nada nem ninguém, a não ser nos seus amores, nos seus desejos, na sua própria felicidade. Como se para viver bastasse apenas amar alguém, isto claro desde que caísse na conta uma renda mensal para não ter que trabalhar e poder viver apenas a pensar no tal amor.

Flaubert criticou "Os Miseráveis" de Victor Hugo por ser um romance condescendente para com todas as classes da sociedade, pois fez bem, já que acabou a fazer o oposto. Aliás, quem tinha razão era mesmo Henry James, a quem Flaubert não conseguiu enganar:

"Aqui, a forma e o método são os mesmos que em "Madame Bovary"; a competência estudada, a ciência, e a acumulação de material, são ainda mais impressionantes; mas o livro, esse numa única palavra, está morto." (Henry James)

Como se isto não bastasse, o livro apresenta vários problemas de organização da ação e dos personagens, que fazem com que não poucas vezes as cenas não apresentem ligação entre si, ou não seja possível compreender totalmente o que o autor pretende ao colocar os personagens a dizerem certas coisas. Isto é mais um problema de edição, mas acredito que Flaubert com todas as suas idiossincrasias, tenha impedido que esse trabalho fosse feito sem o seu total controlo, e por isso o livro que temos é o que ele terá permitido que tivéssemos.

Dito tudo isto. Não dou por perdido o tempo que gastei a ler “Madame Bovary”, já “A Educação Sentimental” dispensava.


Publicado no VI em: https://virtual-illusion.blogspot.pt/...
Leave a Review
You must be logged in to rate and post a review. Register an account to get started.