Уф, закінчила першу книгу і навіть гадки не маю, що цей Кінг придумає далі!

Harold l’incel original

J'ai écouté à l'audiobook lu par Philippe Sollier, qui est un très bon narrateur. Il met de l'émotion et de l'énergie dans le récit, il rend les personnages reconnaissables à leur manière de parler, bref j'ai vraiment apprécié le côté audio !
Pour ce qui est de l'histoire, les descriptions m'ont semblé interminables et souvent il ne se passe pas grand chose. Mais quand enfin l'action se met en place, alors là... On n'arrive plus à lâcher l'histoire !
Pour ma part, j'ai du mal avec certains aspects de l'écriture de Stephen King, mais je ne parviens pas à mettre le doigt dessus c'est plutôt un ressenti global, une sensation de "crasse" qui saupoudre ses récits... Si un jour j'arrive à mieux formuler tout ça, je retravaillerais cette review !

J'ai hâte d'écouter le tome deux et de retrouver les personnages auxquels je me suis attachée, parfois contre toute attente.

Я десь читала, що гуманітарні науки вчать думати. Те, що ти завчаєш, стоїть на другому місці. Найкраще, що дає людині навчання, — це здатність правильно проводити індуктивно-дедуктивні зв’язки між різними фактами.

3,5 ⭐️
It’s a nice book! Honestly it took me more than i expected to finish it, and i most didn’t… For some time, all i wanted was to finish the book and move one to a different one, however, now i think i have to go read the second one.

Certains chapitres trop longs. Néanmoins le fait qu'on rencontre des personnages qui se suivent était intéressant et intriguant.
J'ai bien aimé le décor apocalyptique. J'espère que le tome 2 vaut le coup. Parce que la fin m'a laissée déçue.

4,2

Une vraie épopée. Lu pendant le confinement du COVID-19, le thème ne peut pas être plus d'actualité.
Un vrai combat entre le Bien et le Mal, mais toujours avec ses nuances. Le Bien n'est pas forcément tout blanc, et le Mal tout noir. Chaque personnes détient en lui une part des deux et c'est à lui seul, grâce à ses choix et son parcours, qui décidera de quel côté il se tiendra. Enfin un énorme réflexion en second plan, sur notre façon de vivre sur Terre et nos priorités dans ce monde.

Un excellent livre avec des personnages attachants et une intrigue prenante !

En cette période de pandémie comment ne pas succomber à la tentation de se plonger dans Le Fléau de  Stephen King histoire d’oublier tout ça le temps de quelques 1500 pages au format poche et de se changer un peu les idées en compagnie d’un joyeux drille comme ce bon vieux Stephen ? Il avait imaginé ce scénario avant qu’il ne débarque au cours de cette fameuse année de 2019 qui lui a donné son nom. Étant un peu américanocentré, le virus ne s’est pas échappé d’un laboratoire de Wuhan – je rigole l’enquête immédiate et scrupuleuse de l’OMS, réalisée en étroite collaboration avec des autorités chinoises à la transparence irréprochable, vient d’écarter définitivement cette hypothèse farfelue née dans le cerveau malsain de complotistes – mais d’une base militaire ultra-secrète des États-Unis – ne vous inquiétez pas je ne suis pas en train de divulgâcher, cette information est révélée dès les premières pages du livre. Et ensuite on connaît la mécanique, mais il l’illustre très bien.

Ed et Trish infectèrent le réceptionniste. Les petits, Marsha, Stanley et Hector, infectèrent les enfants qui jouaient sur le terrain de jeu du motel – des enfants qui se rendaient dans l’ouest du Texas, en Alabama, en Arkansas et au Tennessee. Thrish infecta les deux femmes qui lavaient du linge à la laverie automatique, deux rues plus loin. Ed, parti chercher un peu de glace à la réception, infecta un type qu’il croisa dans le couloir. Tout le monde se mit de la partie.

Comme on pouvait s’y attendre, il ne fait pas dans la dentelle, en comparaison le COVID-19 ressemble à un rhume des foins. Il sait y faire et on se retrouve très vite à tourner les pages frénétiquement. Sa mécanique est bien huilée, il change de personnages et de point de vue à chaque chapitre. Si elle a démontré son efficacité, cette technique n’en est pas moins un peu facile et assez énervante à la longue. Ensuite, il tombe rapidement dans ses travers et a une fâcheuse tendance à basculer à la moindre occasion dans le gore, l’horreur et ce n’est pas ma tasse de thé. Il se laisserait même tenter par un petit détour par le fantastique en forme de clin d’oeil à son oeuvre fleuve, Le Pistolero.

Randall Flagg, l’homme noir, marchait le long de la nationale 51, en direction du sud, attentif aux bruits de la nuit qui enveloppait cette route étroite qui tôt ou tard le conduirait de l’Idaho au Nevada.

Il est à noter – avant de vous précipiter – que ce livre est disponible au format poche en deux gros volumes parus au Livre de Poche, mais pour l’instant, je ne suis pas trop partant pour lire le second.

Également publié sur mon blog.

Страшная книга. Но это заслуга не Кинга, а тех, кто издавал это. Тут и обложка от Сатаны, и перевод вырвиглаз. Читала "Армагеддон" дважды еще в школе, одна из любимейших книг. Увидела ее в местной библиотеке на русском и моей радости не было предела. Недолго музыка играла. На первых же главах увидела море опечаток. Перевод насколько буквальный, что аж зубы заскрежетали. Штат Юта оказался "Ута", имя Gus стало "Гус", одно и тоже имя в соседних предложениях было переведено по-разному и т.д. Встретила инфу в сети, что в книге не все главы. Не знаю правда ли это, но читать на русском Кинга больше не буду. Лучше бы перечитала на английском и не тратила свое время.

Escrito pelo mestre da literatura de terror Stephan King, "The Stand - A Dança da Morte" é um assustador livro pós apocalíptico escrito em 1970, que começa com uma terrível epidemia.
Começa com a "fuga" de um vírus de umas instalações de investigação biológica pertencente ao exército dos EUA. Este vírus provoca uma supergripe mortal que se propaga de uma forma vertiginosa e que dizima a população mundial em menos de um mês.
Algumas pessoas, sem perceberem porquê, são imunes ao super vírus e assistem abismadas ao que se passa à sua volta. Na sua luta pela sobrevivência algumas delas acabam por juntar-se e por tentar salvar o pouco que resta da humanidade.
Impressionante a forma crua e por vezes até um pouco humorística como estão feitas as descrições pelo "mestre".
Mais assustador ainda por ser lido enquanto atravessamos uma pandemia!