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Après avoir finie ce livre je m'ai mis à penser qu'il y a quelques mois auparavant j'ai essayé de lire les 2 œuvres majeures de Jonathan Frazen, mais au fin, il y était impossible, j'ai trouvé les personnages et l'ambiance complètement insupportables et c'était claire que je ne irais pas dépenser des jours de ma vie dans ces univers misérables (je pense faire un jour une dernière tentative Franzen, avec Purity). J'ai aussi fait un effort pour lire Et rien d'autre de James Salter, mais au fin de 20 pages, il y était évident que la vie de Philip Bowman n'avait aucun intérêt pour moi. Ça m'a fait penser en Donna Tartt: j'ai lu tout le Chardonneret, mais boeuf... tout ça pour dire que, en contraste, ce livre de Marguerite Duras, la troisième (!) variation littéraire au tour des mêmes mémoires de sa adolescence et sa découverte vertigineuse de l'amour, ça c'est l'art et une réalisation extraordinaire.
Ce que me semble c'est surtout que ici les personnages et ses histoires sont honnêtes, vraisemblables, pluri-dimensionnelles.
Merci le ciel pour Marguerite Duras, sa vie intéressante, son art — et ses vérités.
Ce que me semble c'est surtout que ici les personnages et ses histoires sont honnêtes, vraisemblables, pluri-dimensionnelles.
Merci le ciel pour Marguerite Duras, sa vie intéressante, son art — et ses vérités.