Community Reviews

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100 reviews
April 1,2025
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Mon premier livre par l’auteure, j’aime vraiment comment elle écrit, mais le fait que l’on change de narrateurs plus d’une fois fait un récit plutôt décousu. De plus, certains narrateurs ne semble pas être à leur niveau de langue, trop bien écrit pour leurs descriptions; définitivement trop littéraire pour leur éducation.

L’histoire est intéressante : deux adolescentes qui disparaissent et les points de vu des différentes personnes nous raconte l’avant, le pendant et l’après (pas nécessairement dans cette ordre). Peut-être que je lis trop de mystère parce que mes instincts donnaient un autre coupable, le conclusion était plus simple que je l’imaginais.

Je n’ai pas adoré, c’était bien mais pas plus. Je pense que les changements de narration ont trop ralenti ma lecture pour que je prenne un rythme soutenu, mais j’aime l’idée des livres différents et je ne regrette pas le temps passé à lire ce livre.
April 1,2025
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J'ai lu ce livre dans l'édition Points de 1982, et Dieu que la couverture est laide !
Au départ j'ai été plutôt envoûtée par le décor, que je n'avais pas encore rencontré dans un roman. Style prenant. Mais au fur et à mesure cela devient outré, toute la fin est franchement assez insupportable tant l'effet est forcé.
Dommage, c'était plutôt bien parti.
April 1,2025
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Anne Hébert es una gran poeta y escritora canadiense que vale la pena conocer. En esta novela relata un hecho terrible, como es la desaparición de dos adolescentes, pero el uso del lenguaje poético empapa la narración de una belleza inclasificable.

No es un policial al uso, aunque el culpable se descubre al final, pero lo importante es el relato de lo ocurrido desde el punto de vista de varios personajes y la descripción magnífica del entorno.

El mar y la naturaleza envuelven la pequeña comunidad de Griffin Creek, formada por unas pocas familias de ascendencia inglesa, que han quedado aisladas en un territorio del Quebec mayormente francófono. En un ambiente enrarecido por un miedo vago, se aferran a unas creencias religiosas que refuerzan su identidad:

La pequeña iglesia de Griffin Creek resuena con nuestras oraciones. La voz del pastor se vuelve ronca como la de un viejo borracho. La palabra de los profetas pasa por la voz rota del pastor. Se habla de Griffin Creek en los libros santos.

La endogamia y la opresión que supone el vivir en esta comunidad de normas rígidas está magníficamente descrita:

Demasiado cerca unos de otros. Esta gente nunca está sola. Se oyen respirar los unos a los otros. No pueden mover el meñique sin que se entere el vecino. Hasta sus pensamientos más secretos se los extirpan de raíz y dejan de pertenecerles enseguida, sin tiempo de convertirse en palabras.

En este marco opresivo, la sexualidad puede ser un elemento muy perturbador y es lo que ocurre, con la llegada del verano y la plenitud de dos primas adolescentes, Nora y Olivia, cuya belleza causa distintos efectos en los hombres del pueblo. A ello se une la vuelta de Stevens, su atractivo primo, que ha estado ausente durante 5 años recorriendo la costa americana. La llegada de Stevens es el catalizador que también despierta la sexualidad femenina - él se marchó después de una disputa con su padre y ahora ha vuelto hecho un hombre, dispuesto a enfrentarse a él y a seducir a cuantas mujeres se pongan a tiro. Es un esquema ancestral - matar al padre y apropiarse de las mujeres - edípico, casi zoológico. Eros y Tánatos.

Todo esto se nos relata a través de diferentes voces narrativas, con un lenguaje entre posmoderno y poético, pero que se puede seguir fácilmente, aunque al principio cuesta hacerse idea de las relaciones entre las diferentes familias, con tantos primos, primas, gemelas, abuelas, etc.

A mí me ha gustado mucho, porque está lleno de párrafos preciosos, evocadores del mundo natural y de los sentimientos reprimidos, de la belleza y la sordidez, del paso de las estaciones y la entrada del otoño que es como la antesala de la muerte. Y la irrupción de la sexualidad como una fuerza a la que no se puede poner freno:

Mis primas brillan a lo lejos como peces de plata. Saltan en el aire azul, estallan en burbujas de plata. Sus risas restallantes brincan hacia el cielo en gotas ligeras, tocan el sol, chisporrotean como el agua en el fuego. Nunca la marea tan baja. El océano tan lejos. Demasiado viento.
April 1,2025
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Ce livre est perturbant, perturbé, troublant et cruel. L’histoire se déroule plutôt lentement jusqu’à la disparition des deux cousines. Le changement de narrateur est intéressant quoique parfois un peu lourd puisque ça ressasse les mêmes événements dans une sorte de boucle. On revit donc les mêmes choses jusqu’au dernier chapitre où il y a le motif de tout cela. Détail que l’on attend depuis très longtemps. C’est une histoire vraiment plus glauque et dérangeante que ce que je m’y attendais. Une histoire de petit village de quelques familles où les relations de consanguinité sont présentes et que tout le monde le fait et tout le monde se tait. Difficile de dire si j’ai aimé ou non, mais je peux dire que ça m’a troublé.
April 1,2025
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Le roman est encore meilleur qu'à ma première lecture, qui était surtout centrée sur l'intrigue de la disparition des deux adolescentes et l'hermétisme de la société de Griffin Creek. J'ai pu porter plus attention aux jeux sur l'espace et le temps, qu'Anne Hébert, fidèle à elle-même, réussi avec brio. La fin, par contre, est toujours aussi frustrante!
Mention spéciale à la couverture de cette édition parue chez Points, qui est magnifique :)
April 1,2025
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The most interesting thing about the book is that it's a thriller, but written in a very poetic way, which is sometimes confusing. But the book is meant to be read for its style and not necessarily the story, and her writing style is poignant.
April 1,2025
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Je suis déçue de ne pas avoir aimé ce livre. La lecture elle-même était terriblement décevante: on s’aperçoit rapidement que l’intrigue et la forme pastichent Faulkner, sans toutefois pouvoir reproduire son lyrisme.
April 1,2025
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Difficile d'exprimer un avis avec des étoiles. Avec cette lecture, j'ai vécu quelque chose de similaire à ma lecture de Beloved de Toni Morrison : un plaisir de lecture qui n'était pas là, des choses qui me repoussaient du livre, tout en étant consciente que c'était un très bon livre par ailleurs fort bien écrit. Pareil ici avec Les fous de Bassan qui est extrêmement étouffant et morbide, avec une écriture très spéciale qui mène parfaitement le récit là où il doit aller mais qui m'a vraiment étouffée de l'intérieur. Et pourtant, il y a des passages qui étaient si bien écrits. Mes parties préférées sont celles de Perceval et d'Olivia où, très clairement, la femme est particulièrement reliée à l'eau. En somme, un excellent livre dont je n'ai pas forcément apprécié le moment de lecture. Enfin, pas souvent...

Recommandé par @antastesialit
April 1,2025
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Al empezar este libro tienes la sensación de estar adentrándote en un banco de niebla. Tiene un inicio confuso que, al igual que la niebla, te va envolviendo a medida que pasas las páginas y que se va disipando muy poco a poco mientras avanzas.

Y lo que se empieza a entrever entre toda esa bruma es una historia narrada por varias voces, a través de cartas y una especie de diarios, sobre la desaparición —o, más bien, sobre cómo se va gestando la desaparición— de dos primas adolescentes en Griffin Creek, un pueblo de la Canadá profunda con una población ultrarreligiosa y endogámica en el verano de 1936.

Lo que más llama la atención de esta novela es la narración tan poética y lírica con la que Anne Hébert es capaz de crear una atmósfera tan sórdida y oscura para contar un suceso tan atroz.
Consigue crear unas imágenes potentísimas de Griffin Creek, un pueblo que imaginas permanentemente cubierto por un cielo gris oscuro y cercado por brumosas playas salvajes en el que, oyendo a sus habitantes, sabes que no puede ocurrir nada bueno.

«Todos aquellos que dejaron el pueblo a lo largo de los años lo hicieron como si hubieran descubierto poco a poco que la tierra era demasiado pobre para cultivarla, el viento demasiado violento para soportarlo, la caza y la pesca únicamente buenas para las vacaciones. Pero, en realidad, cada uno de ellos deseaba convertirse en un extraño para los demás, escapar del parentesco que los unía a las gentes de Griffin Creek, depositarias del secreto que hacía falta olvidar para vivir».
April 1,2025
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J'ai adoré ce livre, principalement parce qu'il m'a donné beaucoup à quoi penser. Hébert raconte l'histoire d'une famille qui occupe un petit village québecois, dont les mâles les plus puissants dominent et y créent un propre monde auquel les femmes sont assujettis. La prose de Hébert ne manque jamais de beauté, ce qui est toujours en contraste avec cette histoire noire et troublante. Par exemple: '...ses petits sapins drus, un sur cinq, rouge et desséché, les morts non ramassés, tenus serrés par les vivants verts et noirs, la folle vie végétale, robuste, respirant contre les morts, les tenant debout, entre les vivants, ne pouvant pas s'en débarrasser, n'ayant plus le temps, trop engagée dans la puissante occupation de vivre, de croître et de pousser dans un sol pauvre où la vie est un défi et une victoire'.

Je ne lui donne que 4 étoiles parce qu'il m'a semblé vers la fin que Hébert a peut-être un peu 'trop écrit', le livre aurait pu avoir le même effet et la même force dans moins d'espace. A mésure qu'on lit, on s'aperçoit qu'elle tend à répeter des trucs et on se pose la question si c'est pas la deuxième ou troisième fois qu'elle aborde le même thème, bien que ce soit décrit en autres mots (voire quelquefois à peu près dans les mêmes).
April 1,2025
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Que dire qui n'a pas déjà été dit.... j'ai adoré !
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