Community Reviews

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73 reviews
April 26,2025
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Non credete a chi dice che questo romanzo è l’alter ego femminile dei Tre moschettieri.
Le donne al tempo di Dumas non facevano certo la guerra a cavallo e in pantaloni. Ma sono loro che in qualche modo muovono le fila di un piano strategico che vede attorno personaggi illustri, re, principesse, regine, Mazzarino e numerosi nuovi amici che combattono su vari fronti.
Potremmo dire che il romanzo è riuscito nella misura in cui sei avvinto dalla trama, voi sapere cosa succede dopo, ci sono azione, amori, colpi di scena, intrighi e sotterfugi come nella migliore tradizione dumasiana.
Però qui i personaggi sono poco caratterizzati, se non con cenni lievi e fugaci, l’introspezione psicologica quasi assente, se non nell’ultima parte del romanzo, pochi i personaggi riusciti: Cauvignac e fra le donne forse Nanon.
La morale esiste: degli affanni del popolo il Regno non se ne cura. E forse le cose non sono poi così cambiate dopo tanto tempo.
April 26,2025
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Si seulement les héroïnes de cette histoire avaient eu un smartphone pour envoyer des messages bien plus rapidement. Mince quoi.
April 26,2025
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Prince and Princess of Condé (he is imprisoned although a war hero) up against the king, dowager queen and Mazarin who is very unpopular. An inn, travelling, deceipt, fighting and politics. Two heroes fighting to protect their territory and one - Canolles - is in love with Nanon and Viscountess de Cambe, originally dressed as a man in the inn. My kind of book. War is nasty and people die, but Dumas expert at conveying the heroism and romance.
April 26,2025
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A fun read from Dumas. I enjoyed the humor strewn throughout the book. I found it a bit difficult to get through the last third of the book, it seemed to get more serious and dramatic, which was not the sense I felt in the prior chapters. However, it was a great view into the era, the war, and the roles one can play in history. I appreciate the variety and depth of characters cast in Dumas's plot, always making sure we know there are never just two sides from which we can choose.
April 26,2025
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Direi che si può a pieno titolo parlare di una guerra tra donne, ma non solo per le scaramucce amorose.
Le due rivali principali sono Nanon, rappresentante della fazione della regina, e la viscontessa di Cambes, campionessa della principessa di Condè; ma oltre alle battaglie per il potere ci sono anche gli amori del generale di Canolles che fanno da cardine principale del dramma.

La vicenda si svolge 20 anni dopo i Tre Moschettieri ma sono comunque ben percepibili i loro strascichi: gli scontri, i colpi d’azione alla fine di ogni capitolo e gli intrighi d’artagnaneschi ne fanno da padroni.
Le due protagoniste (vice squadra delle due fazioni) sono descritte nelle loro vicende amorose, i loro caratteri si forgiano e cambiano a seconda di come mutano le loro situazioni sentimentali. Dumas riesce ad analizzare in modo magistrale il cuore femminile, le sue rivoluzioni, la sua volubilità, i suoi dolori più profondi.
La guerra in sé e per sé prende tutto il libro, ne fa da sfondo principale. Si vede come, in questo caso, siano le donne la vere artefici degli scontri, delle morti e delle decisioni.
La fine tragica del romanzo non fa concludere la Guerra vera e propria, ma fa sì che le due rivali in amore si riconcilino.

A differenza di molte altre opere di Dumas questo ha saputo prendermi un po’ meno. L’azione è enormemente presente, come di norma, ma non so come mai non sono riuscita ad affezionarmi e coinvolgermi con nessun personaggio, nemmeno coi protagonisti.
April 26,2025
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A tratti ho trovato il romanzo estremamente avvincente, più spesso però, ho fatto fatica e ho dovuto lottare per ultimare la lettura. La scrittura è impeccabile ma questa volta il Dumas-padre non mi ha convinta. Dopo il Conte di Montesilvano, uno dei più grandi capolavori mai scritti, mi aspettavo qualcosa in più. Proverò con i tre moschettieri.
April 26,2025
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"Et moi, je lis un autre roman de Dumas maintenant," m'a dit mon amie italienne.
"Lequel?"
"La Guerre des Femmes. Voila," et elle a agite' un volume rose épais devant la caméra de son ordinateur.
"Quoi?! Jamais entendu parler!"
"Oui, on dit ici que cette une version féminine des 'Les Trois Mousquetaires'," elle a cité la résumé.
"Incroyable! Et pourquoi est-ce que je n'en ai jamais entendu parler?!"



Alexandre Dumas père (1802-1870) (Crédit d'image: Nadar, Public domain, via Wikimedia Commons).

Mais bien sûr que je devais lire une version féminine des "Les Trois Mousquetaires"! Il n'y avait pas une version audio en Français (il y en avait en russe et en espagnol, mais cela me semblait un peu trop de perversion pour écouter un livre de Dumas, et en plus mon espagnol n'est pas assez bon), donc j'ai commencé à lire sur Kindle. Et j'ai lu... et lu... et lu... mais quel ennui... encore un petit effort... voila, enfin c'est devenu un peu plus captivant... et j'ai lu encore... et encore... et je suis tombée malade et j'ai lu en lit pendant des heures... et finalement, j'ai fini. Et maintenant je sais pourquoi il n'y a pas un livre audio en Français et aussi pourquoi je n'ai jamais entendu parler de "La Guerre des Femmes" -- c'est parce que ce roman est une réflexion pâle et faible de "Les Trois Mousquetaires".

Oui, nous avons ici quelques personnages féminins au centre de la scène. Bravo, Dumas, pour cette tentative de changement.

Bien dit, commandant, quoique en vérité, si nous n’y faisions pas attention, les femmes font en ce moment-ci une véritable croisade contre notre autorité : témoin ce que disait devant moi M. le cardinal à don Louis de Haro.
— Et que disait-il donc ? demanda Canolles.
— « Vous êtes bien heureux, vous ! Les femmes d’Espagne ne s’occupent que d’argent, de coquetterie et de galants, tandis que les femmes de France ne prennent plus à cette heure un amant sans l’avoir essayé sur la question politique, si bien, ajoutait-il d’un air désespéré, que les rendez-vous d’amour se passent aujourd’hui à traiter sérieusement des affaires de gouvernement. » — Aussi, dit Canolles, la guerre que nous faisons s’appelle-t-elle la Guerre des Femmes : ce qui ne laisse pas que d’être flatteur pour nous.


Mais on ne doit pas en attendre trop -- Dumas reste quand même un homme de son temps, et les efforts titanesques et les intrigues diaboliques des deux personnages féminins principaux tournent autours des hommes et leur but principal est d'avoir un objet de leur amour pour elles-mêmes. Une lecture pour féministes, ce n'est décidément pas, tout comme "Les Trois Mousquetaires" ou "Le Comte de Monte-Cristo".

— Cela ne serait pas arrivé, dit Mme de Tourville, si l’on avait suivi mon plan.
— C’est vrai, dit la princesse, on ne veut jamais faire ce que nous proposons, sous prétexte que nous sommes des femmes et que nous n’entendons rien à la guerre… Les hommes font à leur tête et se font battre.


En fin de compte, pour mois, l'aspect le plus intéressant de "La Guerre des Femmes" et justement ça: pourquoi ça "ne marche pas" ici, pas même la moitié aussi bien que dans "Les Trois Mousquetaire"?

À première vue, tous les composants nécessaires sont là: la concentration d'intriques et de malentendus est la même ou peut être encore plus élevée, et le mélodrame -- il y en a trop! Donc peut être c'est ça le problème -- trop de mélodrame? Non, pas seulement.

Je crois que le problème principal est dans les antagonistes masculins, est surtout le héros romantique Cannoles -- une figure en carton qui ne prendre jamais vie. D'Artagnan, Athos, Porthos, Aramis -- les quatre archétypes, chacun avec son propre charactér, chacun tellement mémorable et vivant qu'il nous semble les connaître. Et Canolles -- un jeune homme, un très beau jeune homme, un jeune homme brillant qui courre après des belles femmes, ah, regardez, il est courageux aussi, ah, il est très courageux... Une belle figure en carton très courageuse, donc. Et son adversaire diabolique Cauvignac n'est pas beaucoup mieux -- une figure en carton à peine vivante.

Il y a quand même quelques récompenses pour les lecteurs qui persévéreront jusqu'à la fin.

Par exemple, on y rencontrera La Rochefoucauld, le même de Memoirs et Maximes. Et on apercevra que peut être Dumas aimait et appréciait ce personnage historique de la même manière qu'il "aimait" Mazarin: dans "La Guerre des Femmes" La Rochefoucald est cynique et sans pitié, un vrai ange maléfique.

Derrière la troupe allait rêveur, et les rênes sur le cou de son cheval, cet homme au regard faux et aux mains blanches, qui inscrivait plus tard, en tête de ses Mémoires, cette phrase assez étrange pour un philosophe moraliste : « Je crois qu’il faut se contenter de témoigner de la compassion, mais se garder d’en avoir. C’est une passion qui n’est bonne à rien au dedans d’une âme bien faite, qui ne sert qu’à affaiblir le cœur, et qu’on doit laisser au peuple qui, n’exécutant jamais rien par raison, a besoin de passions pour faire les choses. »

Messieurs, dit la reine, au lieu d’attendre ici que ce trait soit raccommodé, il fait beau, l’air du soir est frais, voulez-vous marcher un peu ?
— Aux ordres de Votre Majesté, dit M. de La Rochefoucauld en s’inclinant.
— Venez près de moi, duc, vous me direz quelques-unes de vos belles maximes ; vous avez dû en faire bon nombre depuis que nous ne nous sommes vus.


Ceci est à considérer, reprit la princesse, tandis que M. de La Rochefoucauld, souriant de son plus méprisant sourire, regardait en pitié toutes ces femmes raisonnant sur des choses de guerre qui embarrassaient les hommes les plus hardis et les plus entreprenants.


François VI, duc de la Rochefoucauld, mémorialiste (1613-1680) (Crédit d'image: Théodore Chassériau, Public domain, via Wikimedia Commons)

Et l'autre récompense c'est la fin elle-même -- après un sursaut gigantesque de mélodrame impossible, il y a un épisode rafraîchissant par son cynisme réaliste: les hommes sont tombés dans la guerre; le beau Cannoles, une victime d'intrigues amoureuses et surtout politiques, est exécuté; les deux antagonistes féminines vont se enterrer dans le monastère pour pleurer ensemble sur sa tombe jusqu'à leur dernier jour; même Cauvignac est devenu triste; mais les aristocrates, les puissants, pour lesquels tant des hommes sont tombés, ils sont tous vivants et redevenus meilleurs amis.
April 26,2025
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Un libro di Dumas a me sconosciuto, ma non ha niente di meno de 'i tre moschettieri ". È la versione al femminile. Simpatico il modo di fare delle donne in guerra, adottando strategie tipiche dei colleghi del tempo (nella storia di quel periodo, infatti, non si parla mai di strategie al femminile). Siamo in Francia ai tempi di Mazzarino e si dividono due fazioni, di cui una presidiata dalla regina vedova. Nel tumulto generale, può nascere un grande amore e chissà se può avere un lieto fine... La quinta stella manca perché lo stile di Dumas, come sempre, a tratti, per me è contorto. Se fosse stato completamente lineare, avrei dato il massimo perché è un libro che non manca di nulla.
April 26,2025
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At times- this was a delightful comedy with characters who connive, manipulate, and deceive to get their way- however, this was probably one of Dumas' more melodramatic books- particularly towards the end. I don't think I'd recommend it to someone unless they were a particular fan of Dumas.
April 26,2025
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Let's face it - Dumas can tell a story. The Women's War lacks the swashbuckling characters of the D'Artagnan series, but the twists and turns in this here tale certainly stand up to his best works. Enjoyable from start to finish.
April 26,2025
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Oh insomma siete due donne con i controcazzi, lasciate stare sto conollas che si diverte solo a fare l'eroe e a correre prima dietro a una e poi dietro all'altra. Potete avere di meglio, accidenti, e no, il meglio non è dio.

A parte tutto caruccio dai, si è fatto leggere bene.
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