Me prometieron un libro acerca de un comite de la muerte Obtuve un libro acerca de la vida de las personas (medicos) que trabajan en un hospital de boston En todo el libro ocurrieron como 3 comites
Un libro que me ha recordado a las primeras temporadas de Anatomía de Grey, con ese ritmo de trabajo frenético de los nuevos internos de cirugía, la competitividad y el compañerismo como caras de una misma moneda, y en definitiva la entrada en la vida adulta, teniendo como protagonistas a Adam y Spurgeon, quienes a pesar de sus diferencias en todas los aspectos forjarán una bonita amistad. Sin embargo, aquí el telón de fondo es la dura América del s. XX, con todo el racismo, machismo y lucha de clases que esto implica, y que aportan un elemento de gran valor al relato en mi opinión. Por eso, me ha parecido una historia muy completa y me ha gustado mucho poder disfrutar del gran abanico de personajes que ofrece.
The Death Committee didn't disappoint, it was a good read. The medical field and the way Noah Gordon makes it into an interesting story is magical! I have definitely become a fan of this author. Once again, I can heartily recommend this novel!
El review sonaba espectacular... doctores decidiendo sobre los casos que habian realizado en un período de tiempo... Pero al final na tiene que ver con el comité de la muerte; solo la historia de un par de médicos y llevar sus vidas al final feliz de las novelas! terrible...
I have liked all of Noah Gordon's books. Sometimes I will read a sentence several times because of the way he says things. I really enjoy his writing. I also enjoy the medical aspects. This book was fine, just not one of his better ones.
Cómo en otras novelas de Gordon, el desarrollo histórico del personaje me pareció excepcional. Bajo uno de sus late motiv habituales, la medicina, seguimos el rastro de unos jóvenes médicos, que deben enfrentarse a problemas propios de su tiempo, problemas que quizá ahora nos suenen lejanos.
Dès les premières lignes, nous sommes plongés dans un quotidien mouvementé d’internes de l’hôpital Suffolk County General Hospital de Boston, où une poignée de chirurgiens s’évertuent à sauver et redonner vie à des patients de passage. On reconnaît dès le début la recette. Mais le roman ayant été publié en 1969, on peut soupçonner qu’il y avait un certain effet de nouveauté à l’époque.
Heureusement que le style donne une cadence intéressante à la lecture, car on pourrait s’y ennuyer. Ce n’est pas tant que le livre a mal vieilli, mais on ressent l’usure de la thématique. Et la traduction ne rend peut-être pas le souffle original de la version anglophone.
Mais on se prend tout de même à s’attacher aux personnages. Leurs retours en arrières se révèlent parfois un supplice essentiel, mais l’histoire coule tout de même bien. Les liens se tissent entre eux. On commence à s’imprégner de la dynamique.
D’intérêt peuvent être certains anachronismes, au niveau des comportements ou propos. Sur ce sujet, on voit mal comment certaines répliques survivraient à notre époque. Pour exemple: « Masters et Johnson devraient faire un article sur la réceptivité au pénis des jeunes infirmières après une première confrontation avec la mort ».
Mais la trame historique s’impose parfois pour nous rappeler que l’histoire se déroule à la fin des années 60 et que c’est une époque turbulente avec de nombreuses mutations. L’histoire est parfois bercée de ces soubresaults historiques et cela enrichit nécessairement la lecture.